Jialba

jialba rencontre... José Alba

Exposition faite en 2011 sous le pseudo de José Alba, (Jialba), dont le titre était: EX SYMBOLS Des mannequins en sous vêtements éclairés par des néons de couleurs dans les vitrines du restaurant ArtiPasta Restogalerie à Bruxelles, ce mois de novembre 2011, ont suscité la polémique. L'artiste José Alba, (Jialba),dénonce la marchandisation de l'être humain, son asservissement au "Dieu argent" fait d'or et de billets. Le culte du Veau d'or et la Mondialisation. L'histoire se répète sans fin. Ma1 Exposition faite en 2011 sous le pseudo de José Alba, (Jialba), dont le titre était: EX SYMBOLS

Des mannequins en sous vêtements éclairés par des néons de couleurs dans les vitrines du restaurant ArtiPasta Restogalerie à Bruxelles, ce mois de novembre 2011, ont suscité la polémique. L'artiste José Alba, (Jialba),dénonce la marchandisation de l'être humain, son asservissement au "Dieu argent" fait d'or et de billets. Le culte du Veau d'or et la Mondialisation.
L'histoire se répète sans fin. Mais: " Il y a deux histoires: l'histoire officielle, menteuse, et l'histoire secrète, où sont les véritables causes des évènements." Honoré de Balzac
Les fondements de notre société, la démocratie, se vide de sa moelle. Avons nous vendu notre âme à l'économique? Y a t'il encore une place pour l'alternance, le referendum et la vitalité politique avec l'espoir d'infléchir notre avenir et celui de nos enfants?
Les personnages féminins dans ses peintures sont, selon lui, la métaphore de l'humain en perte d'humanité. Perte de valeurs fondamentales au point de lentement se convertir en de purs objets de consommation. Les corps féminins sont tatoués de de circuits électroniques, bijoux de technologies douces et sensuelles. Ces marques dans leurs chairs semblent indélébiles. Cette installation met en scène l'humanité devenue esclave de ses propres désirs.
Le corps humain est devenu un commerce ordinaire, une vitrine de plus, juste du "business".
Le désir de possession est motivé par le besoin d'assurer son avenir qui reste incertain et l'acceptation de ce que tout dans ce monde soit l'objet d'un commerce, autant le travail des humains que les humains eux-mêmes, ainsi que l'acceptation que tout doit toujours coûter le moins cher possible pour ensuite être revendu le plus cher possible, laissant sur le carreau la moitié des humains dont très peu se soucient. Quel que soit le régime, le sacrifice des pauvres est le moteur des sociétés.

Désindustrialisation continue, classes moyennes qui disparaissent, pouvoir d'achat en chute libre, délocalisations, chômage, cpas, accroissement des pensions, les inégalités (justice, revenu, capital...) qui s'accentuent, etc.
Et toujours la même politique, les mêmes personnes, avec la même élite pour un même désastre (mondialisation, européanisation, nomadisme, individualisme, multiculturalisme, privatisations, libéralisation.....)...

"La politique, c'est l'art d'empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde" Paul Valéry
La prostitution financière engendre les mêmes maux que la prostitution sexuelle:
« traite des êtres humains, toxicomanie, pauvreté, violence,...»
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